Le Grand Presbytère a rouvert ses portes au mois de mars pour une nouvelle saison riche de nouveautés et de découvertes artistiques.Un cheminement entre peinture et poésie, le Peintre Kubala puise aussi son inspiration dans la musique. La poésie l’accompagne depuis « les années lycée » et il apprécie quelquefois de pouvoir en interpréter certaines. Pour lui, travailler après s’être laissé habiter par un texte, un récit, une œuvre littéraire, transcrire les visions suscitées par ces lectures en se remémorant certaines scènes, c’est excitant et passionnant. Quant à la musique, elle lui permet de s’évader, cloîtré dans son atelier. « Les ressentis sont stimulés par les ambiances de musiques diverses et variées qui m’aident à me concentrer et à rêvasser dans mon univers. C’est alors que parfois des souvenirs ressurgissent et se retrouvent sur la toile ou alors ces ressentis influencent l’esprit, la tonalité du tableau. »
En complément de l’exposition « L’Echo des Songes », une exposition de chefs d’œuvres réalisés par des compagnons poursuit l’aventure avec une diversité des corps de métiers représentés. Le Tour de France n’a jamais cessé d’exister, et reste un formidable moyen d’apprendre, comprendre, échanger, de s’affirmer en temps qu’homme.
L’Union Compagnonnique Des Devoirs Unis de Montauban, nous invite à un moment d’initiation et d’un savoir faire partagé. Mais le métier ne se limite pas à un savoir faire, c’est aussi une culture et un savoir être. Un métier, c’est une histoire, des hommes, un langage, des écrits laissés par les anciens.
Le Compagnon se donne le devoir de transmettre non seulement son savoir-faire mais également son savoir-être, parce qu’il aspire à être plus qu’un bon ouvrier : un homme bon.
« Nos mains à l’Unisson », c’est l’occasion de découvrir techniques et talents.